Peu des pays peuvent dire qu’ils sont au milieu de monde. Pas seulement juste géographiquement mais aussi dans le commerce, la géopolitique et les tendances de changements sociaux. Sous ce contexte, presque tous les pays ont la possibilité de devenir le centre du monde.
Mais en pratique une poignée de pays ont des vraies possibilités.
Le Mexique : entre le Nord et le Sud
En ajoutant, après les disruptions a les chaines d’approvisionnent lies a la pandémie de COVID-19, plusieurs pays comme les États Unis, le Canada et des autres pays occidentaux, ont choisissez d’investir dans la relocalisation de ses chaînes de valeur avec l’implémentation des enjeux comme « Ally Shoring », ça veut dire, que les pays cherchent de partenaires et alliés économiques pour l’approvisionnement en matériaux, biens et services – avec la intention de – réduire la dépendance vis-à-vis d’un pays en particulier, en particulier ceux qui ne partagent peut-être pas les mêmes valeurs et intérêts à long terme.
Ce phénomène a été accélère par les évènements récents en Europe depuis le début de la guerre en Ukraine et les tensions entre les États-Unis et la Chine. Des experts peuvent interpréter ces évènements comme la fin de la globalisation, en réalité, nous sommes en trains de vivre un nouveau type de globalisation sous la forme de la régionalisation (la globalisation régionalisée) et la naissance des régions économiques. Et pour clarifier ces régions ils ne sont pas la même chose que les blocs économiques.
Peut-être, la première vraie région économique qui peut se consolider est l’Amérique du Nord : autrement dit, la zone économique entre le Canada, les États-Unis et le Mexique.

Pour certaines, le avantages de le Canada et les États-Unis sont évidents. Les deux pays sont partis des organisations comme l’OTAN et plus importante le G7. Peu pays rejetterions l’opportunité de faire des affaires avec deux des plus grandes économies du monde. Dans le même ordre d’idée, beaucoup d’entre vous, par omission ou avec intention, oubliez de compter le Mexique comme un membre actif de l’économie de l’Amérique du Nord.
Trop suivant, le Mexique représente avec fierté la signifiance de son nom, « le nombril de la lune », en d’autres termes, le pays joue le rôle de connecter l’Amérique du Nord avec le reste de Latino-Amérique dans les deux directions. Pas seulement avec le commerce de merchandises, mais également avec le transit des milliers d’immigrantes qui font le voyage vers les États-Unis et parfois le Canada.
De plus, le Mexique et les États-Unis ont été des partenaires commerciaux depuis le début de l’ère industriel et pendant les derniers 100 années, les deux pays ont développé une intégration économique profonde. Quelque chose qui a été amplifie par L’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) et qu’il peut fonctionner comme cadre d’innovation et développement pour une meilleur harmonisation des règles, réglementations et normes, renforcement des efforts de lutte contre la corruption, pratiques commerciales plus respectueuses de l’environnement et des travailleurs, entre autres objectifs.
Pour que cette intégration soit réussie il faudrait la participation active de les 3 pays et grâce aux institutions démocratiques parmi eux, on pourrait parler de la « North American Way » de faire des affaires dans quelque temps.
Alors, est ce que le Mexique est-il prêt pour le défi de le XXI siècle? Pour répondre on doit parler de Mexique et de ces dernières 100 années pour essayer de deviner son avenir.
Une bref histoire de le Mexique

Premièrement, ce quoi le Mexique? Alors, le Mexique est un état-nation, une unité politique qui est une invention récente de l’humanité, qui est une conséquence de la Guerre de 30 années à l’Europe (1618-1648) et que les premières mexicaines ont choisissiez pour s’organiser après leur lutte pour l’Independence contre l’empire espagnol dans le 27 septembre de 1821. Mais ça il est une définition trop « clinique ».



L’origine du peuple Mexicaine
En fait, le Mexique vient du mélange entre les cultures espagnoles et des peuples autochtones qui ont été conquis par les Espagnoles, au contraire à Canada et les États-Unis ou les peuples autochtones et les descendants d’européens ils ne se sont pas mélangés de la même manière. Il suffit de prendre comme exemple le fait qu’au Mexique on parle l’espagnol (comme langue officiel malgré le fait qu’il y a plusieurs d’autres langues autochtones) et que l’emblème national vient du le mythe fondateur de les Aztèques (aussi malgré le fait qu’il y as beaucoup des peuples autochtones qui ne sont pas partis de les Aztèques).
La centralisation du pouvoir du Mexique
N’oublions pas que le Mexique n’a pas été seulement une colonie de l’empire espagnol mais aussi il a été une vice-royauté trop centralise ou tout le commerce et les ressources qui ont été extrait se rassemblait dans Mexico pour été catalogué et envoyé vers l’Europe. Aujourd’hui le pays reste divisé et trop centralisé. En particulier le Nord et le Sud du pays ont subi un sort diffèrent et pratiquement opposes l’une de l’autre.

La frontière entre le Mexique et les États-Unis
Prenons le cas du nord du pays qui est aujourd’hui la région la plus industrialise, ou le mexicaines du nord, autrement dit norteños ont plus de similarités avec les Américaines de l’autre cote de la frontière, qu’avec ses compatriotes mexicaines au sud de pays.

L’interventions de XIX siècle au Mexique
De plus le gouvernement de Mexique a été toujours prudent avec tous les aspects militaires et de sécurité avec les États-Unis, grâce à leur invasion Américaine sur territoire mexicaine, en plein expansion impérialiste entre 1846 et 1848. Sur ce point, après leur indépendance le Mexique a été envahi par d’autres puissances militaires comme la France en deux occasions, (1838-1839) et (1861-1867) respectivement.
Fun fact : le 5 de mai est une commémoration de la bataille de Puebla ou l’armée mexicaine a gagné contre l’armée française, les meilleures forces armées au moment dans 1862.

Croissance, ordre et progrès au Mexique du XIX siècle
Le période après l’indépendance mexicaine a été un période ou l’existence de le Mexique a été mis à l’épreuve et après cet longe période de guerre et avec une population trop fatigue le général Porfirio Diaz a pris le pouvoir en 1876.

M Diaz est resté au pouvoir pendant 35 années (un période qu’on appelle le Porfiriato) jusque 1911. Pendant le Porfiriato, la croissance et le progrès a été réserve pour une minorité privilégie mais c’est ici ou le Mexique a établi l’infrastructure nécessaire pour faire des affaires avec les États-Unis et l’Europe, comme les voies ferrées et les usines. Néanmoins, les travailleurs étaient pratiquement des esclaves, parce que oui, M Diaz été un dictateur.
Pour presque toutes les Mexicaines à l’époque, la pauvreté, l’ignorance et de la misère était-ils la norme. Finalement, M Diaz a été exilé pendant la révolution mexicaine, une période brutale entre 1910-1917 d’où vient la constitution moderne de le Mexique et d’où vient les institutions modernes qui font de Mexique une démocratie.
Un pays moderne, un seul parti
Le Mexique moderne s’est développé sous la direction d’une seul parti politique, le Parti Révolutionnaire Institutionnel, sous un régime d’autoritarisme doux jusqu’au l’année 2000. Il a été un période de développement et de croissance, mais aussi de répression politique et social.
« Pauvre Mexique, si loin de Dieu et si proche des États-Unis »
Comme un pays voisin de les États-Unis, le Mexique a été influencé par la culture et l’économie américaine. Grâce à la proximité et notre histoire partagé – comme le fait que le Mexique a aidé les États-Unis avec l’effort de la deuxième guerre mondial et la coopération que continue jusqu’au aujourd’hui – les 2 pays sont d’accord qu’il existe une relation spéciale entre les deux nations. Par contre cette relation n’a pas été toujours amicale. Par exemple le Mexique était le seul pays d’Amérique latine à s’opposer à l’embargo contre Cuba.
Tant qu’il y a stabilité des deux côtés de la frontière, les Mexicaines et les Américaines profit de l’échange économique, culturel et social entre les deux sociétés. Pour ces raisons les 2 pays ont signé un accord de libre échange avec le Canada en 1994 pour créer une région économique comme rien vu auparavant.
Malgré sa position comme pont naturelle entre le nord et le sud de l’Amérique, le Mexique a subi un changement politique et économique avec l’ACEUM et l’alternance de pouvoir dans les dernières 20 années.
À cause du gouvernement d’un seul parti politique pendant le XX siècle ou les menaces ont été absorbées dans le système, les groupes criminels comme les Carteles ont eu l’opportunité d’agrandir son pouvoir et influence partout le pays. Aujourd’hui, avec la croissance de la violence armée dans les deux côtés de la frontière, les deux pays doivent trouver les moyens de coopération international pour soulager les origines sociaux et économiques de leurs problèmes, en respectent la souveraineté nationale.
La régionalisation de la globalisation au Mexique
Pour que la régionalisation de la globalisation prendre lieu dans l’Amérique du Nord, le Mexique et ses voisins, doivent ils survivre à la haute polarisation politique qui à débuté aux États-Unis, qui menace la stabilité sociaux, économique, politique et de sécurité de la région.
Le Mexique au contraire de les États-Unis parle la même langue que presque le reste de l’Amérique latine, sauf des pays comme le Brésil ou l’Haïti, c’est ainsi que le Mexique se trouve dans une position d’opportunité pour fonctionner comme un pont entre le Nord et le Sud du continent. Pourtant, le sud du pays, l’isthme de Tehuantepec reste aujourd’hui comme une frontière et une région indomptables à cause de sa composition et des autres facteurs environnementales n’offrent beaucoup des bénéficies dans l’agriculture et qui représente une région coûteuse pour le gouvernement.

Mais le sud de pays représente aussi une barrière naturelle qui le permet au Mexique de projeter son pouvoir vers le Caribe. Dans le même sujet, grâce a les développements technologiques du XXI siècle, le sud du pays a des opportunités économiques comme le tourisme ou des autres formes de revenus. Néanmoins, cette région est politiquement loin de Mexico et elle est encore en retard dans le développement industriel. Une dommage parce que la péninsule de Yucatán pourrait-elle servir pour projeter l’influence de Mexique en termes économiques.

En bref, aujourd’hui, après 100 années de la révolution mexicaine et plus de 200 années de la lutte pour l’Independence, avec la coopération internationale et la croissance continue des institutions démocratiques, le Mexique doit prouver encore qu’il est un pays démocratique au même niveau que ses voisins au nord de la frontière pour devenir un vraie « nombril » pour le continent américain.
Dans une autre occasion on va parler de la relation entre le Mexique et le reste de Latino America, ainsi on va couvrir aussi leur relation avec autre régions comme le Québec, le reste de l’Amérique du Nord, et leurs différents secteurs économiques. Et vous quoi pensez-vous quel est l’avenir pour le Mexique?